|  Sujet: *~Katsuma Mei~*  Lun 7 Mai - 14:09 | |
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Katsuma Mei« Le miracle n’est pas de voler dans les airs ni de marcher sur l’eau mais bien d’arpenter la terre. »Le commencement... ◈ Âge physique : 17 ans◈ Date de naissance : 25 août 1994◈ Ville natale : Tokyo◈ Nationalité : Japonaise (avec un peu d’hémoglobine chinoise héritée de ses aïeux)◈ Sexe : F {√} ◈ Métier : Lycéenne et patineuse professionnelle (elle travaille aussi occasionnellement à l’izakaya en tant que serveuse, plongeuse et sushi girl)◈ Groupe : HumainsQui êtes-vous ? ◈ Caractère : Vous devriez arriver très facilement à vous faire une idée du caractère de Mei. Imaginez-vous un ange tombé du ciel qui découvre le monde et le tour est joué. Presque allégorie de la douceur et sans aucun doute de la jeune fille en fleur discrète et innocente. En la voyant, on ne soupçonne pas qu’elle a traversé des épreuves très douloureuses au cours de sa vie, souriant la plupart du temps, elle ne laisse jamais rien paraître de ses soucis. Et c’est sûrement un de ses plus grands torts. Gentille, avenante, elle ne veut être un fardeau pour personne et donne toujours le meilleur d’elle-même dans ce qu’elle entreprend, sous réserve que ça ne porte pas atteinte à autrui…Mei a une peur bleue de la concurrence, et c’est un vrai handicap pour une sportive de haut niveau comme elle. Son appréhension quant à la compétition fait qu’elle n’a encore que rarement participé à de grands championnats alors qu’elle aurait tout-à-fait le niveau. Plus généralement, elle redoute la confrontation avec les gens, les disputes car à chaque fois que ça advient, elle est à peu près sûre d’en prendre plein la figure et de ne pas arriver à formuler des arguments car trop stressée ou intimidée. C’est pourquoi elle essaye toujours d’agir dans le sens des gens pour ne pas les vexer et ce, même si ça ne lui correspond pas. Elle préfère se dire que c’est de la politesse plutôt que de l’hypocrisie car elle le fait sans mauvaises intentions et ne dira jamais du mal d’une personne dans son dos, même si cette dernière l’a profondément blessée.
Elle garde heureusement assez d’amour-propre pour ne pas se laisser entraîner dans des carcans trop dangereux, cependant, il n’est pas toujours évident de les détecter et Mei manque de lucidité sur ce terrain-là. Même si depuis quelques temps, elle a appris à être encore plus prudente, il lui arrive d’être naïve au point de croire à certaines choses et de suivre, car malgré tout, elle place beaucoup d’espoir en les gens. Spécialement ceux qu’elle apprécie et qui donnent l’impression de l’apprécier en retour. Quand on lui témoigne de la sympathie, elle est très enthousiaste et très vite généreuse et attentionné, non pas qu’elle manque d’amis mais aucun n’est vraiment proche d’elle. Pourquoi ? Parce que son patinage artistique lui prend beaucoup de temps et que de fait, elle n’est pas souvent disponible pour sortir, de surcroît, elle préfère souvent rester chez elle à écrire des pages et des pages d’une nouvelle histoire quand elle a du temps libre. En effet, Mei a hérité de sa défunte mère des qualités de conteuse et elle a une imagination débordante qui nécessite d’être exprimée, que ce soit dans ses chorégraphies aériennes sur la glace ou sur le papier. Elle se sent beaucoup plus à l’aise dans ce monde onirique que dans la réalité qui pour elle a souvent rimé avec tragédie. Bien qu’elle soit une élève plutôt studieuse, ses professeurs disent souvent d’elle qu’elle est tête-en-l’air et sur son nuage, mais le fait qu’elle soit adorable et respectueuse sauve largement les meubles. Ce qui lui a d’ailleurs valu des jalousies et autres méchancetés gratuites.
Mais son apparente sociabilité est à nuancer car Mei reste quelqu’un d’assez timide quand elle ne connaît pas les gens, tout particulièrement les garçons. On peut dire sans risquer d’exagérer qu’elle a peur d’eux, pas au point de s’enfuir dès qu’un s’approche d’elle ou de les éviter (ce qui serait plutôt délicat) mais le souvenir de Tadashi la hante toujours. Elle ne pense pas nécessairement du mal d’eux et désirerait vraiment s’attacher à nouveau à un garçon mais son traumatisme persiste. Malgré elle, elle reste accrochée au mythe du prince charmant et il n’est pas rare que ses rêves et ses récits respirent le romantisme cher à plusieurs contes de fées. Etant elle-même beaucoup plus fleur bleue qu’elle le voudrait et sentimentale. Après, dire de Mei qu’elle est fragile serait inexact car si elle l’avait été, cela ferait des années qu’elle aurait songé au suicide et expérimenté la chose, ce qui étrangement ne lui a jamais traversé l’esprit. Elle a toujours fait montre d’un grand courage pour surmonter ses problèmes souvent sans le soutien de personne et continuer à être performante au patinage, en plus d’aider son père et de ne pas se laisser vivre à l’école. Elle a su aussi garder intacts son sourire et sa douceur, prodiguant de l’aide à tous vas alors que les intéressés n’en auraient sûrement jamais fait autant à son égard. Incontestablement et à l’image de sa cousine, elle a le sens du sacrifice et fait souvent (même trop souvent) passé les autres avant elle. Elle a beau être une jeune femme calme, elle reste dynamique et semble rarement démotivée. Serviable, elle n’hésite pas à prêter mains fortes à son père lors des vacances et quand elle le peut, ce qui surcharge un peu plus son emploi du temps déjà très rythmé par les cours qu’il s’agisse des matières générales ou du patinage artistique. Elle ne manque pas de ressources et sait aussi coudre, faire quelques travaux manuels, tout ce qui demande de la créativité ne lui pose en général que peu de problèmes. Même si elle n’a pas un talent hors du commun, elle se débrouille, ce qui n’est pas donné au premier venu. En bref, elle a le profil d’une poupée aimante et fidèle dénuée de toute méchanceté mais malmenée, abîmée par le peu de scrupules de certains et par les aléas de l’existence. ◈ Physique : Mei n’a pas de l’ange que l’attitude mais aussi l’apparence. Ce n’est pas un hasard si souvent au sein de sa famille, on lui a dit qu’elle ferait une merveilleuse geiko car rien qu’avec un minimum de maquillage, elle est capable de devenir un archétype de beauté asiatique. Relativement petite du haut de ses 1 m 59, pourvue d’une silhouette toute en grâce et en finesse sculptée par ses années de danse sur glace, elle a gardé ses traits de petite fille et tout chez elle semble délicat. A commencer par ses yeux étirés en amande aux larges iris chocolat noir, rehaussés de longs cils. Sa bouche, petite mais charnue évoque une forme de cœur et sa peau de pêche ne présente aucune imperfection, ce qui est une vraie bénédiction pour une adolescente. On dit souvent d’elle qu’elle est à croquer ou adorable. De fait, Mei n’a pas besoin de beaucoup d’artifices pour « s’embellir », un maquillage outrancier serait à la limite de produire l’effet inverse chez elle. De manière générale, elle n’a pas un look très tape-à-l’œil et s’habille de couleurs fraîches souvent dans les tons pastel ou blanc qui reste sa couleur préférée. Vous ne la verrez que rarement arborer des décolletés ou dévoiler ses jambes plus qu’à hauteur des genoux sauf sur la patinoire où une tenue plus prête du corps est exigée évidemment. Elle ne porte également pas une profusion de bijoux se contentant souvent d’un simple collier ou de quelques bracelets au poignet droit, le tout restant sobre. Parfois une paire de boucles d’oreilles discrètes mais la panoplie s’arrête ici, Mei préfère concentrer les accessoires sur sa chevelure qui lui arrive aux hanches et est d’un noir maté agréable et soyeux. Elle en prend grand soin et se fait souvent des coiffures plus ou moins élaborées suivant ce qu’elle est amenée à faire dans la journée, il lui arrive de les onduler, de les monter en chignon, de les tresser et j’en passe. Elle soigne aussi ses ongles qui sont assez longs mais ne les verni jamais de couleurs criardes. D'où venez-vous ? ◈ Les vampires ? : Mei a déjà lu quelques romans où ils entrent en scène naturellement et elle trouve que ce sont des créatures fascinantes, effrayantes mais fascinantes, comme bon nombre issues de l’imaginaire populaire. Hélas, elle a passé l’âge de croire aux elfes et aux licornes bien qu’elle ait toujours rêvé en rencontrer réellement un jour. Mais la réalité a mis fin en grande partie à ce genre de fantaisie il y a un moment. Ce qui ne l’empêche pas d’intégrer tous ces êtres à ses histoires, en dehors cependant, elle n’imagine pas qu’ils puissent réellement exister (et que sa cousine les côtoie de près). ◈ Histoire : Hideo avait manqué lâcher le téléphone de stupeur après que Jia Li lui ait appris la nouvelle. Il en était resté muet durant une minute au bas mot, laissant son interlocutrice appeler dans le vide pour savoir s’il y avait encore quelqu’un au bout du fil. Son frère était décédé et sa belle-sœur, envolée…Tout cela en l’espace d’une seule nuit, celle de la fête de la lune chinoise. Sa nièce, la petite Lin Yao âgée d’à peine 4 ans était orpheline et même le fait que Jia Li se soit portée garante pour l’adopter ne suffisait pas à le rassurer. A cette époque, Hideo travaillait dans un restaurant de Tokyo, ayant pour projet d’ouvrir son propre établissement une fois qu’il aurait suffisamment épargné. Il est incontestable que cet évènement pour le moins tragique le bouleversa, lui et sa fiancée Kaori.
Hideo ne retrouva une réelle joie de vivre que trois ans plus tard, quand sa femme tomba enceinte d’une petite fille. Ils ne mirent que peu de temps à lui trouver un prénom, Mei serait parfait car il signifiait à la fois « nièce » en japonais et « belle » en chinois, ce qui sonnait comme un hommage à ces proches précieux qu’ils avaient perdu. Elle représentait beaucoup pour eux, une promesse de renouveau, une pléiade de délicieux moments en perspective et fût à la hauteur de leurs espérances. Poupon adorable, elle ne fût jamais source d’ennui et très vite éveillée. Ce qu’elle aimait par-dessus tout était regarder des ballets de danse classique à la télévision, depuis qu’elle était tombée sur l’un d’eux après une série de dessins animés, elle n’en démordait pas. N’étant alors âgée que de trois ans, ses parents se renseignèrent néanmoins pour savoir s’il existait une sorte de cours de danse d’éveil et ils trouvèrent, ce qui n’aurait pas pu davantage enchanter leur fille. Une autre découverte merveilleuse pour elle fût sa première neige et surtout son premier contact avec la glace. Le coup de foudre instantané. Etrangement, beaucoup d’enfants avaient peur de glisser mais pas Mei, elle pouvait rester des heures à s’amuser avec sa petite bouée à faire mille et une acrobaties et sans jamais se blesser. Ses parents rayonnaient de la voir ainsi et c’est sans hésitations qu’ils lui offrirent des cours de patinage adaptés aux plus jeunes. En dehors de ça, tout était au beau fixe professionnellement parlant, le couple Katsuma avait désormais sa propre izakaya et elle fonctionnait plutôt bien.
Rien ne semblait désormais pouvoir troubler la félicité qui caractérisait cette famille et l’enfance de Mei fût des plus heureuses, du moins jusqu’à son entrée au collège. C’est à partir de ce moment-là que Kaori commença à être souffrante et inquiète pour sa mère, Mei décida de se faire plus présente à la maison et d’abandonner la danse classique pour ne se consacrer qu’au patinage, discipline où elle avait déjà remporté quelques médailles. Kaori ne se laissa pas abattre et sembla vaincre cet apparent début de cancer du sein. Mais pour Mei, les choses se dégradèrent progressivement en matière relationnelle. En passe d’avoir 13 ans, elle dût changer de club de patinage pour passer au niveau supérieur et intégrer l’élite des jeunes champions. Au départ très fière d’elle, elle déchanta rapidement car ses nouvelles camarades se révélèrent des pestes finies, plus âgées qu’elle et jalouses de l’attention qu’on lui portait. Elles commencèrent à multiplier les coups bas, lui volant des affaires, découpant ses tenues…Tout ce matériel coûtait cher et Mei en était malade et honteuse de demander à ses parents de les remplacer aussi souvent, elle avait trop peur des représailles pour en parler à son professeur ou même pour avouer la vérité à ses parents mais heureusement pour elle, le poteau rose fût vite découvert et un dédommagement fût demandé aux familles des fautives en plus de leur expulsion provisoire du club.
Après ce manège qui avait failli entacher sévèrement la passion de Mei pour son sport/art de prédilection, un évènement bien plus dévastateur advint. Sans crier gare, le cancer de Kaori reprit de la vigueur soudainement et quand elle alla consulter, le médecin diagnostiqua des métastases…Il n’y avait selon lui plus rien à faire, il ne lui restait plus que quelques mois à vivre. Des mois qui devinrent des semaines car le cancer se fit foudroyant. Préférant passer ses journées à l’hôpital en compagnie de sa mère, Mei n’alla pas au collège durant un bon mois, Hideo n’avait pas le choix et devait quant à lui faire tourner l’izakaya mais l’état de sa femme et l’idée qu’elle allait mourir sous peu le détruisait intérieurement. Kaori s’éteignit une nuit alors qu’elle serrait la main de sa fille entre ses doigts affaiblis et Mei demeura inconsolable pendant une semaine entière, se noyant dans ses pleurs. Le dépérissement de sa mère avait été beaucoup trop rapide pour qu’elle se fasse à l’idée qu’elle allait bientôt les quitter et n’étant âgée que de 14 ans, elle aurait encore eût incontestablement besoin d’elle. C’est réellement à partir de ce moment-là et pour oublier son chagrin que Mei s’enferma dans son mode chimérique et commença à écrire une profusion d’histoires pour oublier la dure réalité. Heureusement pour elle, son père était un soutien remarquable qui bien que très affecté par la perte de Kaori fit montre d’un grand courage et s’occupa de sa fille du mieux qu’il pût. Toutefois cette tragédie ralentit considérablement Mei dans sa progression en matière de patinage et fit baisser son niveau scolaire, ce qui en soit était compréhensible.
Une rencontre ou du moins, une pseudo-rencontre lui redonna cependant de la vigueur. Son club était jumelé à un autre qui n’entraînait que des garçons et des entrevues étaient souvent organisées pour initier les jeunes patineurs aux prestations en couples. Un nouveau venu prénommé Tadashi laissa Mei sans voix, elle le trouvait magnifique, talentueux…Elle venait de tomber amoureuse. Quand elle avait la chance de pouvoir lui glisser quelques mots ou le complimenter, elle était heureuse pour les trois jours à venir. Bien entendu, les ragots ne tardèrent pas à envahir les deux clubs, il n’était pas difficile d’interpréter l’attitude de Mei mais elle était beaucoup trop timide pour oser se déclarer. Tadashi ne semblait pas y prêter attention et continua à se conduire normalement avec elle puis il en joua, multipliant les clins d’œil ou petites caresses inattendues, il insista même pour danser en couple avec elle. Ce comportement menaçait faire frôler la crise cardiaque à Mei tellement elle se sentait sur un nuage. Elle ne s’imaginait pas que dans le fond, Tadashi était comme les autres, un profiteur des plus vils. Il révéla sa vraie nature la veille d’un grand championnat qui aurait pu être une vraie consécration pour Mei et la propulser vers des compétitions de niveau international. Après l’entraînement, il se rendit au vestiaire pour la voir et insista pour la voir se déshabiller. Mei ne sût qu’en penser mais se voyait mal le lui refuser, cependant, une vague d’effroi la traversa quand elle le vit commencer à se déshabiller à son tour mais avant qu’elle ne puisse réaliser quoi que ce soit, il l’immobilisa et l’embrassa de force avant de la toucher de toutes parts. Bien qu’amoureuse, Mei ne s’attendait pas évidemment à vivre les choses de cette manière, sans compter qu’elle n’avait jamais rien fait de sexuel. Tadashi était brutal et elle avait beau lui dire d’arrêter, il n’y entendait rien, ce qui lui arracha des larmes. Lui était bien placé pour savoir que la « sainte ni touche » comme ils l’appelaient ne dirait absolument rien. Il lui intima sévèrement de le toucher sinon il n’hésiterait pas à passer aux choses sérieuses et appréhendant plus que jamais qu’il la viole réellement, Mei s’exécuta. C’est seulement après s’être libéré sur sa cuisse que Tadashi la laissa, manifestement content d’avoir dévergondé la petite Mei et de lui avoir donné une leçon de vie. Tremblante, elle entreprit de se nettoyer mais tomba au sol et se recroquevilla pour pleurer tout son soûl. Comment le garçon dont-elle était amoureuse avait-il pu lui faire ça ? Lui qui avait toujours été si gentil jusqu’alors ? La réalité venait à nouveau de lui porter un coup critique et pas à n’importe quel moment.
Vous vous doutez bien que le championnat du lendemain fût une hécatombe. Complètement traumatisée, Mei multiplia les fautes et les chutes, son programme ne valût pour ainsi dire rien et son entraîneur aurait été quitte de la gifler pour ça, elle qui avait fait des merveilles à l’entraînement la veille, elle patinait n’importe comment. On ne manqua pas de lui demander quel était le problème mais Mei resta muette comme une tombe, elle n’avait aucune envie d’en parler à son père non plus, ce serait un véritable déshonneur. Après ça, elle menaça vraiment arrêter le patinage, toutes ces péripéties avaient fini par l’en dégoûter, du moins c’est ce qu’elle pensait. Mais beaucoup de gens l’incitèrent à continuer, lui disant qu’elle avait beaucoup de talent et qu’il fallait juste qu’elle travaille sur elle-même pour être moins stressée. Mine de rien, Mei continuait d’apprécier sa discipline chérie mais elle ne pourrait jamais progresser avec Tadashi dans les parages. Elle changea donc à nouveau de club, espérant enfin y rencontrer des gens fréquentables et honnêtes. Mais hélas, sa mésaventure dans les vestiaires la rendit encore plus secrète et elle développa une sorte de crainte à l’encontre des garçons, ayant beaucoup de mal à patiner en couple. Il fallait à présent repartir de zéro et tâcher d’oublier tout ça même si c’était beaucoup plus facile à formuler qu’à faire, il faudrait surtout que le destin y mette enfin un peu du sien. Il offrit à Mei une surprise de taille quand elle apprit que sa grande cousine venait à Tokyo pour un temps, elle ne l’avait encore jamais rencontré mais était très enthousiaste. Elle ne serait plus la seule fille de la maison et pourrait peut-être arriver à se confier à quelqu’un, ce que jusqu’alors elle n’avait jamais pu faire.Derrière l'écran ◈ Pseudo : Nadeshi Stigmata◈ Âge : 21 as always :p◈ Sexe : F { √} ◈ Avatar : Crystal Liu◈ Présence sur 7 : 7/7 o/◈ Comment avez-vous connu le forum ? 4ème compte o/◈ Et maintenant le code ?Je vous jure, je ne l’ai pas oublié ! =^.^= |
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