Fujimori Sasara« Citation »Le commencement...
๑ Âge physique : 28 ans
๑ Âge réel : 758 ans
๑ Date de naissance : 11 avril
๑ Ville natale : Tôkyô
๑ Nationalité : Nippone
๑ Sexe : F {√} | M { }
๑ Métier : Rentière et Grande Fondatrice du Grand Conseil de Tôkyô
๑ Arme : x
๑ Groupe : Conseil !
Qui êtes-vous ?
๑ Caractère :
Sasara est une femme pourvue d’une grande douceur. Douceur qu’elle porte aussi bien sur son visage que dans ses gestes ou ses paroles. En fait, on pourrait sûrement lui accorder qu’elle à un instinct quasi maternel qui la pousse à tenter d’amadouer les autres sans se forcer avant de chercher à les confronter. C’est peut être cet instinct qui fait qu’elle est si proche de Fan, sa fille vampirique.
Cette femme possède également une patience que l’on peut mettre à rude épreuve sans qu’elle ne s’en montre forcément agacée. Sasara sait attendre et presse rarement les autres à moins qu’une situation d’urgence ne le demande. Il faut le temps au temps et elle n’est pas le genre de femme qui oubli que le monde ne s’est pas fait en un jour. Avec plus de sept siècles d’existence, cette patience ne s’est pas amoindrit et au contraire, Sasara relativise encore plus facilement.
Attention cependant de ne pas croire qu’entre patience et instinct nourricier, Sasara est une femme « trop bonne, trop conne ». C’est une femme intelligente, attentive et perspicace qui a souvent un avis et une solution sur et pour tout. Quoi que pas omnisciente ni diplômée en psychologie, sa longue expérience dans les relations humaines lui a apprit à juger un minimum les gens afin de savoir à qui elle peut faire confiance et de qui elle doit au contraire se méfier.
Si Sasara se montre caressante avec ceux qu’elle estime ou qu’elle ne connaît pas encore assez pour avoir un quelconque jugement de valeur, elle peut se montrer au contraire très stricte voir sévère avec ceux qui penserait pouvoir abuser d’elle ou de la communauté. Sa place au sein du Grand Conseil, elle l’a gagné et il lui a été donné à la création des Conseils pour ses avis éclairés et son esprit avisé. C’est une femme qui sait mettre son caractère de côté en général mais qui, lorsqu’il s’agit de son rôle de Grande Fondatrice, sait se montrer aussi ferme qu’intransigeante.
Dans ses veines coule des siècles de gouvernance au sein du Grand Conseil et elle a sût prouver à de très nombreuses reprises qu’elle avait l’étoffe d’un chef et les qualités de gestion, d’analyse et de décision inhérentes à cette fonction.
Venant d’une époque lointaine pendant laquelle elle fut une épouse dévouée et fidèle attachée aux traditions, Sasara possède encore de cette noblesse spontanée dont elle ne se défera probablement jamais. Elle se tient droite, fière mais pas dominatrice et on pourrait finalement la voir plutôt comme une mère chatte qui veillerait bec et ongles sur ses petits, n’hésitant pas à en chicaner si le besoin se fait sentir…
En dehors de son appartenance au Grand Conseil, Sasara est une femme qui se montre modeste et même souvent invisible. Très discrète, elle ne tient pas à se mettre dans une quelconque lumière et tient beaucoup à un certain anonymat, vivant non pas recluse mais légèrement en retrait. De fait, bien qu’elle se tienne très au courant de l’activité des chasseurs et surtout de Tenkyû avec qui les vampires ont tissés de grands liens, elle ne s’est jamais présentée à eux et n’envisage pas de le faire. L’Ordre ne sait d’elle que son âge approximatif et son prénom, pour ce qu’elle en sait. Bien assez pour traiter avec eux puisqu’elle estime que Tenkyû, en s’adressant à elle, parle à toute la communauté et non pas à une seule femme.
Quoi que bien des vampires aiment à se plonger dans un sommeil synthétique pour laisser passer la journée, Sasara aime passer le temps en lisant ou en « vivant avec l’époque ». Elle sait utiliser un ordinateur et une connexion internet, se gardant ouverte sur le monde et fréquentant même, ainsi, différent forum ou site de discussion, tous plutôt sérieux il est vrai.
Attentive à ses besoins de femme, Sasara s’accorde des sorties plus « esthétiques » pour entretenir son charme naturel et immortel. Elle apprécie écouter de la musique moderne et quelques émissions télévisées ont sa préférence.
Finalement, Sasara est une mère vampirique proche de sa fille. Elle y est très attachée et Fan comble un peu de ce manque et vide que Sasara a toujours ressentit depuis la perte de ses deux garçons. Depuis plus de 200 ans que Fan vit toujours près d’elle, Sasara sait que le jour où sa fille décidera de prendre sa pleine indépendance, il lui faudra trouver nouvel enfant à chérir et choyer. Cependant, elle n’est pas pressée et n’encouragera pas Fan à la quitter pour pouvoir la remplacer. Ceci est tout à fait inconcevable pour elle…
๑ Physique :
Sasara est une femme taillée sur le model de celles que l’on faisait il y a plus de sept cent ans, sur le principe ! C'est-à-dire qu’elle n’est pas bien grande déjà ! En effet, Sasara ne mesure qu’un mètre cinquante-huit et croyez-là, à son époque on la trouvait d’une belle taille presque ! Ceci étant dit, la vie moderne permet aux femmes de tricher un peu et Sasara gagne à présent quelques précieux centimètres grâce à des talons hauts.
Menue, elle a même eu une période maigrichonne durant son adolescence avant que son poids ne se stabilise après… Ses deux grossesses ! Aujourd’hui, Sasara possède de belles formes rondes mais fines qui lui évitent le paraître de peau sur les os tout en lui permettant de rentrer dans à peu près n’importe quoi…
Son faciès est typique, avec un nez petit et à l’arrête légèrement écrasée. Ses pommettes sont hautes, ses lèvres arrondies et pulpeuses… Son front est haut et son visage à de manière général une forme plutôt ovaline. Les yeux de Sasara sont petits et bridés, comme le veulent ses origines mais aujourd’hui ils semblent facilement plus grands grâce au maquillage.
Les cheveux de Sasara sont longs, lui arrivant dans le bas du dos et la jeune femme a prit pour habitude de les teindre dans des coloris allant du châtain foncé au blond, passant éventuellement par quelques reflets auburn mais sans jamais se risquer dans des coloris moins « habituels ». Autre petit caprice esthétique : elle aime entretenir quelques larges anglaises dans ses cheveux la majeure partie du temps. Enfin… Non, disons plutôt que c’est récent : depuis que la femme qui s’occupe d’elle chez AOI Esthetics le lui a conseillé et montré ! Sinon, généralement, elle reste avec sa longue tignasse droite qu’elle coiffe cependant alors en demi-chignon ou en queue haute.
Dans ce même salon qu’elle fréquente, Sasara aime à entretenir une certaine manucure et pédicure ! Elle est épilée de pied en cape, chassant le poil comme une vraie femme du 21ème siècle ! Pas d’autobronzant pour elle en revanche ! Sasara aime son teint pâle qui récupère lorsqu’elle boit du sang une chaude couleur très légèrement dorée.
Son visage est maquillé de manière sophistiqué mais pas tape à l’œil et Sasara aime se parer de quelques bijoux, souvent en or, ayant une prédilection pour les perles de culture.
D’un point de vu vestimentaire, Sasara est essentiellement vêtue de tenue sur-mesure. En règle générale, il s’agit de tailleurs qui mettent habilement en valeur ses formes les plus sensuelles en léchant celles-ci sans pour autant se faire indécent. Elle aime les dessous très féminin, voir sexy… Pour sa simple satisfaction personnelle ! Sasara se sent femme et ce n’est pas parce qu’elle ne cherche pas d’homme à mettre dans sa vie qu’elle n’aime pas les jolis dessous, les corsages ouvrés où les belles robes.
Elle s’habille parfois plus simplement quand la situation le demande mais sinon, même lorsqu’elle prévoit de rester seule chez elle, Sasara est « toujours prête ». Peut être un vestige de sa vie humaine durant laquelle, pour l’honneur de sa famille et de son mari, elle se devait d’être irréprochable en toutes circonstances.
D’ailleurs, puisque l’on parle d’époque : Sasara possède aussi quelques magnifiques kimonos confectionné avec amour par Fan, sa fille et fait entièrement sur mesure pour elle. Ces kimonos savent mettre Sasara en valeur comme aucun autre ne saurait le faire, assurément, et la Grande Fondatrice n’hésite pas à organiser quelques cérémonies du thé parfois, revêtant alors à ces occasions l’un de ces somptueux cadeaux.
Dernier point, et pas des moindres… Sasara est une VRAIE femme dans toute sa splendeur lorsqu’on aborde le sujet des… Chaussures ! La Fondatrice en a tout un panel de coloris et de coupes différentes ! Non pas qu’elle se ruine en chaussure mais il faut reconnaître qu’elle est rarement prit au dépourvu de ce côté-là !
๑ Signe Distinctif : En dehors du fait qu'elle soit parfois blonde et toujours tirée à quatre épingle, aucun signe distinctif particulier.
D'où venez-vous ?
๑ Les vampires ? :
Sasara a parfaitement conscience de l’existence des vampires et pour cause : non contente d’être l’un d’eux, elle est également celle qui porte le titre de Grande Fondatricce, à Tôkyô. Non belliqueuse, elle est attachée à la survie des siens et a conscience que pour cela, la discrétion est de mise. Quoi qu’elle eu du mal à se faire à la transition d’humaine à vampire, Sasara ne regrette pas d’être aujourd’hui ce qu’elle est et a bien conscience qu’elle se doit d’être un guide pour chaque nouveau vampire qui se place sous la bannière des Conseils.
๑ Histoire :
Lorsque Sasara est née, ce ne fut pas une « déception » à proprement parler mais il y eu néanmoins une petite période d’accoutumance pour ses parents qui espéraient fort avoir un héritier mâle afin de faire perdurer la tradition familiale. Toute fois, passé cette première surprise indélicate, ses parents se montre d’un grand égare avec elle et l’amour qu’ils lui communiquent est tout sauf feint.
Venue d’un milieu plutôt aisé, Sasara se voit enseigner très tôt l’art de la calligraphie, de la musique, de l’ikebana et d’autres arts comme celui de la cérémonie du thé. On lui apprend dès sa prime enfance à être une femme dévouée et fidèle à l’homme qui sera son mari, à faire honneur à sa famille et d’autres anciens préceptes que la fillette suivra durant son enfance et son adolescence sans rechigner, comme la majorité des jeunes filles de son âge et de son époque.
Un petit frère naît quelques années après elle, couvrant ses parents de joie. Elle aussi se montre émerveillé par ce petit bout d’homme qu’elle observe déjà avec tendresse mais également respect puisqu’il représente le premier descendant mâle de sa famille. Mettant en pratique les enseignements qu’elle reçoit à cette époque, Sasara se révèle une sœur aînée attentive et attentionnée, capable de s’occuper seule de son frère des jours durant malgré son jeune âge.
Elle n’a que quatorze ans lorsque sa famille reçoit les premières demandes en mariage et quoi qu’elle se tienne toujours droite et fière sans être offensante, Sasara est à l’âge où quelques rougeurs prennent d’assaut ses joues lorsque l’un des prétendants est à son goût. Sans fausse modestie, à cette époque Sasara est vanté pour sa beauté fraîche, son intelligence discrète et sa fiabilité dans les tâches du foyer, faisant d’elle, en plus de la toute relative renommée de sa famille, un très bon partit sur lequel bon nombre d’homme louchent… Et pas toujours les plus attentionné…
Pourtant, alors que ses parents sont sur le point de donner sa main à un riche fermier d’un domaine voisin, un autre mariage ô combien plus important est arrangé pour elle… Voilà en effet qu’un cousin germain de l’empereur actuel se voit proposé par ses parents pour épouser Sasara, ayant beaucoup entendu parler d’elle… Bien sûr, la famille de l’adolescente accepte bien vite, se sentant déjà gonflée de fierté à l’idée de voir la famille entrer dans l’aristocratie grâce à elle. Sasara prend ce rôle très au sérieux et quoi qu’elle ne vit jamais son mari lors des premiers arrangements, elle parvint très vite à se convaincre qu’elle était déjà amoureuse de ce jeune homme qui avait à peine dix ans de plus qu’elle. Une bagatelle à l’époque.
Cependant, les guerres étant ce qu’elles sont à cette période, le mariage de Sasara est retardé, à son plus grand désespoir. Il lui faudra ainsi patienter presque cinq ans pour qu’elle soit enfin présenté à l’homme qu’elle doit épouser et qu’on lui vante comme un excellent partit, un grand militaire mais aussi un homme de goût.
Au départ, Sasara est un peu effrayée. Yahiko est un homme grand comme une montagne, imposant de par sa musculature et dont la voix porte très fort ! La veille de ses noces, elle en vient même à pleurer, dans la discrétion de sa chambre, se demandant si elle saura réellement être heureuse dans ce mariage qui pourtant fait déjà l’affaire de tous les autres…
Contre toute attente, Yahiko, s’il est effectivement un homme plutôt macho et autoritaire se révèle être un bon époux. Il semble que l’homme soit réellement tombé amoureux d’elle et il s’emploi très rapidement à la séduire plutôt qu’à la prendre de force comme l’autoriserait les liens de leur mariage. Sasara, quoi qu’effarouchée, se laisse rapidement amadouée, prenant sur elle pour dépasser ses premières appréhensions et bien qu’elle garde un souvenir un peu tremblant et douloureux de cette première nuit où elle devint « femme », c’est aussi l’un des souvenirs les plus chers qui lui restent de Yahiko tant l’homme lui fit l’amour avec plus de tendresse que de brusquerie.
L’honneur semble vouloir paver le chemin de Sasara… Car à peine quelques mois après son mariage, l’annonce de sa première grossesse fait le tour de la ville. La maigrichonne petite Sasara voit ses formes s’arrondir et quoi que son ventre soit discret, lorsqu’elle est nue ou vêtue d’un simple kosode, la rondeur de son nid ne fait aucun doute et neuf mois plus tard, son mari peut vanter son épouse qui lui donne après de très longues heures de travail un fils vigoureux !
Akane naît ainsi, profitant de la présence intermittente d’un père souvent en campagne et d’une mère aimante qui s’emploi à l’élever elle-même en recourant le moins possible à une nourrice. A ce moment de sa vie, Sasara est une femme comblée, toujours très discrète et que l’on entend peu mais dont on loue facilement les qualités d’épouse et de mère. Dans les premières années de son fils, Sasara lui apprend les rudiments des lettres et des arts, accompagnée de quelques professeurs. Mais rapidement, le petit garçon s’éloigne pour se forger un mental et un corps de combattant auprès de son père et de maître d’armes.
C’est alors que Sasara tombe pour la seconde fois enceinte, six ans après sa première grossesse ! Et de la même façon que la première fois, elle met au monde un fils, seconde fierté de son époux qui la couvre de cadeaux et d’attention ! On ne fait alors pas femme plus accomplie que Sasara et pourtant, elle a à peine vingt cinq ans… !
Pourtant, c’est à peu près à cette période qu’un homme commence à profiter des absences de son mari pour essayer de la courtiser. Quoi qu’elle fût réputée pour sa beauté et sa douceur, Sasara était préservée de ce genre d’individu de par le sang bleu qui coulait dans les veines de son mari et qui, bien qu’il soit très dilué, lui valait un grand respect. Après tout, l’empereur lui-même ne les avait-il pas invités une fois, durant sa seconde grossesse, pour bénir à nouveau leur union et célébrer son fils et l’enfant à venir ?
Quoi qu’il en soit, honteuse d’être ainsi sujette à ce genre d’attention, Sasara s’emploi à repousser les avances de cet homme : Masuda. Seulement, à chaque fois qu’il lui semble réussir à éconduire définitivement l’homme, ce dernier revient à la charge et en désespoir de cause, Sasara finit par en parler à Yahiko qui fatalement, se met à la recherche de l’impudent, sans réel succès…
Mais Masuda ne semble pas s’émouvoir outre mesure du risque qu’il encourt à la courtiser ainsi et il continu de la poursuivre de ses assiduité pendant plusieurs années…
Sasara à 28 ans lorsqu’elle perd patience, affirmant avec beaucoup d’aplomb et même colère à Masuda qu’elle n’était la femme que d’un seul homme. Le mot de trop ? Peut être lorsqu’elle ajoute que « Yahiko vivant, elle ne serait qu’à lui ».
Masuda, entrant dans une jalousie farouche, la prend au pied de la lettre et quelques nuits plus tard, quand Yahiko est au foyer et les enfants couchés, il entre dans le domaine familial, tire les deux époux du lit et bien que Sasara hurle de détresse et de frayeur, elle ne peut rien faire tandis que Masuda, fort comme un bœuf malgré sa maigre carrure comparée à celle de Yahiko tue ce dernier…
Sasara n’aura pas le temps de fuir pour mettre à l’abri ses enfants qu’elle sera rattrapée et mordue, presque tuée… Mais gardé juste assez vivante pour faire d’elle… Une vampire. Avant de sombrer dans l’inconscience, croyant réellement qu’elle allait mourir, Sasara n’a qu’une demande : que l’on épargne ses fils. Masuda consentira à cette demande…
Transformée, le caractère de Sasara évolue. La jeune femme peine à se faire à cette transition entre ses deux vies. L’absence de son mari et de ses enfants crée un vide qu’elle peine à remplir et elle se sent honteuse d’être ainsi dépendante de Masuda mais aussi du sang. Jamais, de toute sa vie vampirique, Sasara n’acceptera de se donner à Masuda et quoi qu’il aurait pu tenter de profiter de la situation, le vampire ne sembla jamais parvenir à s’y résoudre, tentant plutôt de continuer à séduire, sans jamais y parvenir.
Eloigner de toute vie sociale durant ses jeunes années où rester maîtresse d’elle-même est difficile, Sasara tente de passer le temps en conversations politiques ou artistiques avec son père vampirique ou d’autres vampires amis de ce dernier, se forgeant ainsi un caractère beaucoup moins dominé quoi qu’il se montrera rarement dominateur à son tour.
Sasara ne revit jamais ses fils ni ne su ce qui leur arriva… Elle se plût en revanche toujours à croire qu’ils avaient grandit et fait de belles vies avant de mourir de vieillesse. Pour sa part, Sasara prit son indépendance alors qu’elle atteignait les 150 ans, jugeant que Masuda n’avait plus rien à lui apprendre et n’étant jamais parvenu, malgré le nombre des années, à lui pardonner et à éprouver pour lui plus qu’un mépris à peine poli.
Elle resta à Tôkyô, vivant sur la fortune familiale qui lui était restée après la mort de son mari et de celle que Masuda lui avait également laissé. Lorsqu’une centaine d’années plus tard une guerre éclata au sein du monde vampirique, Sasara, rendue nouvelle par les expériences du passé décida d’entrer dans le jeu et sa participation fut particulièrement remarquée. En résultat sa nomination au titre de Grande Fondatrice, malgré son statut de « femme », lorsque les Conseils japonais furent créés. Son « père » ne la vit jamais obtenir ce titre puisqu’il mourut lui-même durant la guerre.
Gardant fidèlement son rôle et son titre, Sasara se révéla être une excellente administratrice et bien qu’au départ, on eu voulu donner ce titre à Sensui, un vampire de sa connaissance, on ne chercha jamais à le lui reprendre et plus encore, on en vint à croire qu’elle était une meilleure Grande Fondatrice que Sensui ne l’aurait peut être jamais été.
Elle s’efforça de maintenir des relations courtoises avec l’Ordre de Tenkyû bien que celles-ci furent parfois très tendue et tout en se faisant omniprésente sur le terrain de la politique, elle resta très discrète sur sa vie privée en dehors du Conseil, se faisant même invisible aux yeux des chasseurs, de l’Ordre et même de bon nombre de vampires, ce qui est plutôt un tour de force pour un vampire de son âge.
Il y a deux cents et quelques années, Sasara, sentant sa vie devenue trop vide, jeta son dévolu sur une jeune femme aussi désespérée qu’elle le fût probablement en son temps… Elle prit sa vie pour lui en offrir une autre et redouble à présent de tendresse à l’égare de cette fille : Fan.
Elle fut plusieurs fois tentée, avant Fan, de prendre un homme pour fils et de l’appeler comme l’un de ceux qu’elle avait perdu… Mais après réflexion, elle convint avec elle-même que ses véritables enfants, sa chair et son sang, étaient irremplaçables.
Aujourd’hui rentière, toujours aussi discrète et présidant toujours le Grand Conseil, Sasara est une femme forte et avisée. Magnanime, elle n’en est pas moins capable de très sévères représailles et entend bien continuer à garder la stabilité entre vampires et humains aussi longtemps qu’un peu de sang lui coulera dans les veines…
Derrière l'écran
๑ Pseudo : Ming (Minnie pour les intimes visiblement :p)
๑ Âge : 23 ans
๑ Sexe : F {√} | M { }
๑ Avatar : Yuri Masuda de [M.O.V.E]
๑ Présence sur 7 : 5
๑ Comment avez-vous connu le forum ? C'est mon DC (Min Hwan)
๑ Fiche vampirique : Très peu =)
๑ Et maintenant le code ? Validé par Fubuki !
Dernière édition par Fujimori Sasara le Lun 27 Aoû - 2:32, édité 4 fois 
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